Elle s'appelait Marilyn
Elle s'appelait Marilyn
Elle s'appelait Marilyn
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À 10 ans, Nora Atalla découvre, dans un Paris Match de son père, le visage inanimé de Marilyn, en noir et blanc, qui la hante depuis. Elle invite alors ses deux collègues et amis à collaborer à ce livre. Jean-Max Méjean aime les idoles et ne pouvait oublier Marilyn… Mattia Scarpulla se promène et s’endort le soir toujours sur de la musique; la voix de Marilyn Monroe l’accompagne quand il écrit.
« Il y a dans ces trois nouvelles une démarche pour prolonger la vie de Marilyn, et c’est ce qui en fait tout leur sel. La première, entrecoupée de poèmes en clin d’œil à la star qui aimait tant en écrire, propose le récit de la vie d’une comédienne en quête désespérée de devenir Marilyn. La deuxième nouvelle raconte une Marilyn en train de traverser le monde des morts, comme dans la religion tibétaine, pour trouver l’apaisement. Enfin, la troisième évoque la possession d’une jeune femme qui se croit habitée par Marilyn pour échapper à l’emprise de son mari et de sa propre mère. »
« Ces trois textes sont axés sur l’art de mourir et la difficulté de vivre, mais ils ne font que conforter à la fois le mythe de la star, son intelligence, sa bonté et sa présence inaltérable, même au-delà de la mort. Contrairement à tous les nombreux livres écrits sur elle, celui-ci la rend encore plus présente et immortelle. »
– Extrait de la préface